Alors que Résilience, l’autobiographie d’Ophélie Winter doit paraître officiellement le 2 juin, des personnes ont pu se procurer en avant-première le livre. C’est le cas de Julien qui s’occupe du compte Instagram @opheliewinterfanclub. Il nous livre ses premières impressions…
Julien, @Opheliewinterfanclub : « 176 pages c’est bien peu pour résumer la carrière et la vie d’Ophélie Winter et pourtant tout est (plus ou moins) bien là. À travers 12 chapitres, Ophélie revient chronologiquement sur son parcours d’abord dans le mannequinat, puis dans la TV en tant que présentatrice, s’en suit bien sûr la musique et enfin le cinéma.
Une quête vers la résilience…
Mais tout le livre n’est pas forcément accès sur cela bien que fils conducteurs du récit, l’autobiographie se veut un peu comme un livre de développement personnel en parcourant ses blessures du passé pour finalement, après plusieurs épreuves au cours de sa vie, en arriver à cette fameuse «résilience».
Une folle impression d’entendre Ophélie dans ma tête me parler… Julien, @Opheliewinterfanclub
J’ai vraiment trouvé le livre bien rythmé avec une folle impression d’entendre Ophélie dans ma tête me parler, une version audio-book aurait d’ailleurs été judicieux tant l’exercice s’y prêtait !
On y apprend quelques informations inédites sur la production de ses albums… Julien, @Opheliewinterfanclub
Les fans ne seront pas dépaysés car toutes les informations déjà connues ou relatées sont là (relations amoureuses passionnelles et anecdotes musicales/cinématographiques comprises), on y apprend cependant quelques informations inédites sur la production de ses albums. D’ailleurs, le seul reproche que je pourrais faire est que ces passages sont parfois un peu trop courts mais je suppose que la maison d’édition a préféré plus se concentrer sur le parcours personnel d’Ophélie pour ne pas perdre le lecteur « lambda ».
On reconnait toujours cette «gouaille» légendaire propre à Ophélie Winter avec ses formules dont elle seule a le secret. Julien, @Opheliewinterfanclub
En bref, c’est très rythmé, ça se lit facilement et on reconnait toujours cette «gouaille» légendaire propre à Ophélie avec ses formules dont elle seule a le secret. L’artiste semble être enfin en paix avec elle-même et on lui souhaite de tout coeur que cela dure. »